La DSTH est une nouvelle approche thérapeutique mise au point voici une quinzaine d’années par un médecin homéopathe français, le docteur Antoine FLORAIN.
Son nom évoque bien sa vocation : débarrasser notre organisme, par une technique dérivée de l’homéopathie, de l’empreinte, de la « mémoire » de tous les toxiques capables de nous faire un jour basculer dans la maladie.
Le but principal de la DSTH est de désactiver les mémoires organiques des faits intoxinants de notre passé. Notre organisme est constamment exposé, depuis la naissance, à une multitude de toxines (polluants, additifs alimentaires, médicaments, tabac, etc.). Lorsque les organes d’élimination (émonctoires) ne fonctionnent pas de manière optimale, ces toxines s’accumulent et créent un encrassement qui favorise l’apparition et l’installation de troubles ou de maladies.
Le praticien en DSTH travaille sur ce nettoyage intérieur en s’appuyant sur des principes homéopathiques (notamment la loi de similitude). Il ne s’agit pas d’ingérer ou d’injecter des substances. Le praticien utilise plutôt un outil de test (souvent cutané ou crânien) pour identifier de façon personnalisée les remèdes homéopathiques qui correspondent aux toxines spécifiques que le corps doit éliminer.
La DSTH se distingue par sa progressivité et son adaptabilité, permettant un nettoyage doux qui respecte le rythme du corps, sans provoquer de crise d’élimination intense.
La DSTH s’adresse à toute personne dont l’organisme est potentiellement surchargé en toxines et dont l’équilibre de santé est fragilisé. Elle est particulièrement indiquée pour ceux qui cherchent à :
Retrouver un équilibre corporel global.
Soulager des symptômes récurrents et invalidants comme la migraine, la spasmophilie, les allergies, la fatigue chronique ou des troubles digestifs.
Accompagner un sevrage (tabac, alcool) ou une gestion des addictions en aidant le corps à se désintoxiquer en douceur.
Elle est un excellent complément aux autres thérapies naturelles et peut être réalisée en prévention, idéalement au changement de saison.
Elle commence généralement par un bilan de vitalité complet sous forme de questionnaire pour dresser le terrain de la personne (antécédents, alimentation, maladies antérieures, etc.).
Ensuite, le praticien utilise des fioles homéopathiques (associées aux besoins du patient) et les teste physiquement (souvent en contact avec l’occiput ou la poitrine) pour déterminer la séquence et les remèdes qui vont relancer le processus de désintoxination.
Le but est d’aider le corps à éliminer les toxines en suivant l’ordre inverse de leur apparition, de la surface vers la profondeur, de manière à restaurer l’équilibre de santé.
Mais contrairement à l’homéopathie habituelle, la DSTH ne requiert ni absorption d’un quelconque remède, ni injection, ni inhalation, ni contact cutané direct.
La forme d’administration est totalement novatrice. Elle se fait par l’intermédiaire d’un « patch », d’une carte imprégnée portée directement en contact avec la peau pendant deux ou trois semaines, et c’est en partie grâce à cette forme d’administration que le « nettoyage homéopathie » peut avoir lieu avec succès.
Je n’établis pas de diagnostic, ni de prescription et ne remplace en AUCUN cas le corps médical.